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Journal de culture – Monkey Grease

Pour: Contributor Journal de culture

Avec un profil aromatique aussi unique que son propre nom, la Monkey Grease est un hybride qui offre une expérience sensorielle jamais vue, même aux amateurs de cannabis les plus expérimentés. Cette variété débordant de THC révolutionne le monde de la Marijuana, à tel point qu’il nous a semblé nécessaire de vous la présenter plus en détails. Si, comme nous, vous vous délectez de fleurs chaudes et humides qui vous accompagnent durant de longues nuits de folies et d’excès (ou durant un dimanche de plaisirs), cette plante est celle qu’il vous faut. C’est en tous cas ce que vous découvrirez dans ce grow report.

D’où vient la génétique Monkey Grease de Kannabia ?

Kannabia était conscient qu’il lui fallait proposer dans son catalogue de graines sa propre version de l’iconique Monkey Grease, une génétique qui réunit à elle seule toutes les qualités des variétés nord-américaines de nouvelle génération. Née du croisement de la fameuse Cookies and Cream et de la tant aimée Gorilla Glue #4, notre Monkey Grease ne nous a pas déçu. C’est le moins que l’on puisse dire. Elle réunit en effet à la perfection ce qui fait la force de ses parents, mêlant la riche douceur de la première avec l’intensité diesel de son ascendant simiesque.

Et pourtant, bien que la tâche semblât impossible, nous avons désiré aller plus loin. Nous voulions doter notre Monkey Grease d’une personnalité propre, d’un arôme spécifique, d’une saveur unique. Nous voulions aussi lui conférer une plus grande résistance aux parasites et maladies. Et quoi de mieux pour atteindre cet objectif que de la croiser avec une autre génétique hors norme qui lui fournit ces caractéristiques si importantes. Les connaisseurs ne seront pas surpris que ce soit sur la mythique White Widow que nous avons jeté notre dévolu.

Nous mentirions si nous affirmions que nous ne sommes pas immensément fiers du résultat, une nouvelle variété de cannabis qui s’adapte à presque tous les autoproducteurs, qui gâte les plus expérimentés et fait briller les yeux des néophytes, qui met entre les mains de tous un véritable trésor de la nature. Nous avons sorti ce trésor de terre pour le mettre à disposition du monde, pour que tout un chacun puisse vérifier par lui-même la véracité de nos propos.

Quel est le profil organoleptique de la Monkey Grease ?

Une base complexe et terreuse saupoudrée de juste ce qu’il faut de notes sucrées pour titiller les papilles gustatives comme il se doit. La Monkey Grease de Kannabia propose un profil de saveurs qui combine les touches douces de miel, nougat et cannelle aux subtiles notes de chocolat au lait. Une fois ces saveurs initiales dissoutes sur la langue, l’expiration révèle des vapeurs âcres de diesel.

Quant à son arôme, les amoureux de variétés piquantes apprécieront autant que ceux des fleurs caramélisées sa proposition éclectique pleine de sensualité. Ses notes terreuses dominantes, soulignées d’un arrière-goût mêlant skunk et douceur envahiront votre nez avant même que vous n’ayez allumé votre joint (élément à prendre en considération si vous cherchez la discrétion). Effriter ses denses fleurs dégage un puissant arôme d’essence, ce qui renforce encore le tourbillon de stimuli dans lequel la Monkey Grease noiera votre cerveau, grâce à sa fumée équilibrée et joyeuse.

Quels sont les effets de la Monkey Grease ?

La Gorilla Glue #4 est célèbre pour sa capacité à assommer quiconque s’en approche et, en termes d’effets, la Monkey Grease de Kannabia est la digne fille de son primate de parent. Sans surprise, elle contient une grande quantité de THC psychoactif (qui peut dépasser les 20%). C’est le mot « surprenant » qui vient à la bouche de ceux qui en décrivent l’expérience. En effet, son effet se manifeste progressivement, comme un lent tsunami que rien n’arrête et qui finit par glisser totalement le corps dans une relaxation intensément sédative.

En quelques minutes, la Monkey Grease irradie sa chaleur de la tête vers les extrémités, ne laissant aucune chance à la tension nerveuse ou musculaire. À mesure que se répand cette vague relaxante, les sens se mettent en alerte et vous êtes plus conscient que jamais de votre environnement, alors que les stimuli externes, qu’il s’agisse de sons ou d’images, s’adaptent à cette nouvelle dynamique, pendant que le cerveau prend les rênes, laissant inlassablement défiler les idées aussi nouvelles que novatrices. Ces effets hallucinants peuvent donner lieu à des conversations passionnées autant qu’à une sorte d’hypnose, un sommeil éveillé aussi fascinant que déroutant.

À mesure que vous redescendez des nuages, la Monkey Grease laisse le contrôle à son côté indica, vous conduisant à des activités plus passives, voire au sommeil (si consommée en grande quantité). Si vous cherchez à contrôler les symptômes persistant d’un problème médical spécifique (douleurs chroniques, stress ou anxiété), c’est là que vous en aurez pour votre argent, et bien plus encore. Consommez-en simplement de petites quantités et vous en obtiendrez un équilibre parfait entre effets physiques et mentaux.

Comment cultiver la Monkey Grease ?

Si vous disposez de peu d’espace, la Monkey Grease est parfaite pour vous. Elle s’épanouit en effet autant à l’intérieur qu’à l’extérieur – si le climat lui convient. N’oubliez néanmoins pas qu’elle aura tendance à s’étirer tant elle est vorace en nutriments. Il est donc facile d’en perdre le contrôle. Par conséquent, n’hésitez pas à la tailler pour qu’elle ne vous échappe pas.

Et pourtant, son adaptabilité en fait une variété tous-terrains qui se plait à peu près n’importe où. Pour en tirer la puissance maximale, les plus expérimentés recommandent de grandes quantités d’engrais, un peu d’humidité et des températures assez hautes (25ºC, voire davantage). Son arôme étant exceptionnellement puissant, nous vous conseillons d’investir dans un bon système de contrôle des odeurs.

Dans de bonnes conditions, la Monkey Grease offre un haut rendement et fleurit en 8 à 9 semaines (en intérieur). Cette plante reconnaissante saura récompenser les soins qui lui sont octroyés comme il se doit. N’en doutez pas !

Voyons à présent comment s’y est pris un grower expert pour en tirer le maximum.

Culture de la Monkey Grease pas à pas

  • Type de culture : intérieur
  • Illumination : Végétatif : LED Greenception GC 4 128W. Floraison : LED Aglex M 320W
  • Producteur : SlowpokeFuegobud
  • Nombre de plantes : 2
  • Nutriments : Mills Nutrients, Aptus et Green Buzz
  • Période végétative : 5 semaines
  • Floraison : 10 semaines

Germination

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 0

La culture commence par la semaine de germination avec 2 graines posées dans une serviette humide placée dans un endroit chaud et humide. Les graines sont prêtes après trois jours (taux de germination de 100%) et sont alors transférées dans des pastilles de tourbe pressées placées dans un gobelet recouvert de film alimentaire pour assurer un bon maintien du taux d’humidité le temps que la graine pousse vers le haut.

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 1

Durant la première semaine, une fois que la plantule atteint 4 cm, je la passe de la pastille de tourbe à un petit pot de 0,3 litres rempli d’un mélange de 90% de tourbe et de 10% de perlite et je l’arrose avec Start-R de Mills Nutrients (2,5 ml/L à 250 ppm/ 0,5 EC) et NutriSpray d’Aptus (2 ml/L) en pulvérisation foliaire, ce qui apporte des microéléments essentiels et protège les premières feuilles. Je place alors le tout dans une chambre de culture Spider Farmer de 70 cm x 140 cm x 200 cm. La plantule parait saine et les cotylédons disparaissent pour laisser la place aux premières véritables feuilles.

Paramètres de culture :

  • Température diurne : 25ºC
  • Taille du pot : 0,3 L
  • pH : 6,2
  • Taille des plantes : 0-4 cm
  • Température de la solution : 21ºC
  • Température du substrat : 19ºC
  • Température nocturne : 20ºC
  • Distance entre la lampe et la plante : 65 cm
  • Volume d’arrosage : 0,1 L/plante/24 heures
  • Durée d’éclairage : 18 heures
  • Humidité de l’air : 50%

Phase de plantule

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 2

La deuxième semaine, les plantes sont arrosées chaque trois jours avec de petites doses de nutriments à 250 ppm/0,5 EC. Le 7e jour, elles sont déplacées dans des pots de 1 litre dans lesquels le substrat d’origine est complété de farine de roche au rapport Ca/Mg de 2/1, lequel fournit aux plantes tous les éléments nécessaires à leur santé. Les lampes LED fonctionnent à 80% de leur puissance maximale. Les plantes montrent des lésions, sans doute causées par des larves de thrips à leur premier stade. En conséquence, j’ajoute 1/3 de dose de Celaflor dans le sol. Il s’agit d’un appât pour insectes qui leur est fatal. Tous les insectes qui se délectent de la sève de la plante en meurent.

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 3

La troisième semaine, je remplace la lampe Mars Hydro TS1000 (avec laquelle j’avais commencé) par la Greenception GC4 qui est de bien meilleure qualité. La TS1000 n’est certes pas mauvaise. Mais, vu que j’ai une GC, autant l’utiliser. Les températures sont plus basses, de même que le niveau d’humidité. Ce changement de lampe tombe donc à pic. À la fin de la semaine, la plantule a déjà développé de multiples nœuds avec un faible espace internodal, une caractéristique indicatrice de son ascendant indica.

Paramètres de culture :

  • Température diurne : 25ºC
  • Taille du pot : 1 L
  • pH : 6,2
  • Total des solides dissous : 250 ppm/0,5 EC
  • Taille des plantes : 4-7 cm
  • Température de la solution : 21ºC
  • Température du substrat : 21ºC
  • Température nocturne : 21ºC
  • Distance entre la lampe et la plante : 50 cm
  • Volume d’arrosage : 0,1 L/plante/24 heures
  • Durée d’éclairage : 18 heures
  • Humidité de l’air : 45%

Phase végétative

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 4

On entre dans la quatrième semaine et les plantes poussent avec vigueur pour atteindre les 14 centimètres de haut, avec 5 nœuds. C’est le moment d’une première taille apicale, ce qui permet de contrôler la croissance et d’augmenter la production. En effet, la coupe du sommet de la tige principale permet la formation de deux nouvelles branches en forme de Y. Par ailleurs, je déplace les plantes dans des pots de 5 litres et je les arrose à 200 ml avec des nématodes (lutte préventive contre les pucerons) et à 1 ml/L d’extrait de valériane (les rosiéristes y recourent pour stimuler la floraison, tant en termes de rapidité que d’intensité).

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 5

Durant la cinquième semaine, les plantes poursuivent leur croissance de manière impressionnante. Je pratique donc une défoliation concentrée sur les énormes feuilles en éventail et je pratique un LST (low stress training) pour augmenter la superficie horizontale et permettre une meilleure pénétration de la lumière vers les branches inférieures. Seulement quatre jours après l’installation des filets de soutien, la plante a retrouvé sa stature et toutes les feuilles pointent vers la lumière. La Monkey Grease entre en phase de préfloraison.

Paramètres de culture :

  • Température diurne : 24ºC
  • Taille du pot : 5 L
  • pH : 6,2
  • Total des solides dissous : 250 ppm/0,5 EC
  • Taille des plantes : 7-20 cm
  • Température de la solution : 21ºC
  • Température du substrat : 19ºC
  • Température nocturne : 21ºC
  • Distance entre la lampe et la plante : 50 cm
  • Durée d’éclairage : 18 heures
  • Humidité de l’air : 55%

Préfloraison

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 6

La sixième semaine marque le début de la floraison avec un passage en 12/12 et une baisse progressive des niveaux d’humidité vers 50%. Les plantes atteignent maintenant 51 cm et resplendissent de santé. Les pré-fleurs se multiplient un peu partout et les petits calices qui se développent commencent à former de nombreux pistils blancs.

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 7

La septième semaine, je déplace ces deux merveilles vers une nouvelle chambre de culture, où elles sont éclairées avec une LED Aglex M 320W à 75% de sa puissance maximale, placée 70 cm au-dessus de leur sommet. Les trichomes ne sont pas encore visibles et les plantes semblent poursuivre leur étirement. Je pratique une nouvelle défoliation légère. Les plantes ne semblent pas avoir apprécié leur déplacement dans une nouvelle chambre de culture et souffrent apparemment d’un léger stress. Elles ont donc droit à une belle quantité de sels d’epsom ajoutée à leur alimentation. C’est une méthode naturelle très efficace pour apporter du magnésium et du souffre aux plantes. J’augmente également le PK (qui contient également du N). Le matin suivant, les plantes resplendissent d’un vert étincelant et les folioles sont placées correctement.

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 8

La huitième semaine marque la fin du stretch. Les plantes font 48 cm (pour rappel, elles ont subi un LST pour qu’elles développent une stature plus trapue). Je les rapproche de la source lumineuse en plaçant les pots sur une base de mousse de polystyrène. Les premiers trichomes apparaissent et l’arôme s’intensifie. Elles pourraient boire un peu plus. Mais même ainsi, les fleurs se développent à la perfection. J’ajoute du Plant Magic CalMag qui permet, entre autres choses, de contrôler le pH de l’eau.

Paramètres de culture :

  • Température diurne : 25ºC
  • Taille du pot : 5 L
  • pH : 6,2
  • Total des solides dissous : 300 ppm/0,5 EC
  • Taille des plantes : 20-48 cm
  • Température de la solution : 21ºC
  • Température du substrat : 19ºC
  • Température nocturne : 20ºC
  • Distance entre la lampe et la plante : 60 cm
  • Volume d’arrosage : 0,7 L/plante/24 heures
  • Durée d’éclairage : 12 heures
  • Humidité de l’air : 50%

Floraison

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 9

Au cours de la neuvième semaine, une épaisse couche de glandes résineuses se développe à la superficie des calices, alors qu’apparaissent davantage de pistils blancs. Les feuilles en éventail prennent une tonalité lumineuse caractéristique d’un vert plus clair qui, sur les feuilles inférieures, tire sur le jaune. Ce vert est signe de bonne santé, surtout que les feuilles s’étirent fortement vers l’extérieur pour capter autant de lumière que possible.

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 10

Durant la dixième semaine, on peut observer que les extrémités des branches et des tiges voient leur espace internodal augmenter. La plante est donc prête à accumuler les fleurs. Elle a terminé sa croissance verticale. Je replace des tendeurs pour soutenir les branches latérales et ouvrir la canopée pour permettre une meilleure pénétration de la lumière. Pour le moment, le poids des fleurs ne rend pas nécessaire l’utilisation de tuteurs ni d’un filet de palissage. En effet, le LST a permis aux branches d’acquérir suffisamment de force pour supporter leur poids. Un puissant arome floral emplit la pièce à chaque fois que j’ouvre la fermeture éclair de la chambre de culture.

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 11

La plante murit bien durant la onzième semaine. Certains pistils prennent une couleur marron orangée et se tordent et se plient (bien qu’ils n’en soient pas tous au même stade de développement). Les feuilles en éventail présentent toujours un aspect parfaitement sain qui donne à la plante une stature compacte. Malgré tout, ce n’est pas le moment de procéder à une défoliation. Les fleurs commencent à grossir et prennent un aspect pyramidal. Et les trichomes se multiplient sur les feuilles résineuses auxquelles ils donnent un aspect givré.

Paramètres de culture :

  • Température diurne : 25ºC
  • Taille du pot : 5 L
  • pH : 6,2
  • Total des solides dissous : 300 ppm/0,5 EC
  • Taille des plantes : 48-51 cm
  • Température de la solution : 21ºC
  • Température du substrat : 19ºC
  • Température nocturne : 20ºC
  • Distance entre la lampe et la plante : 60 cm
  • Volume d’arrosage : 0,7 L/plante/24 heures
  • Durée d’éclairage : 12 heures
  • Humidité de l’air : 50%

Maturation

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 12

Durant les semaines 12 et 13, la Monkey Grease augmente vertigineusement la densité de ses fleurs. Dans deux semaines, elle devrait être prête pour la récolte. Grâce à la taille apicale et au LST, plutôt qu’un cola principal et de quelques branches satellites, elle présente 8 fleurs principales de dimension similaire, grandes, dodues et couvertes de trichomes. Les plantes présentent un aspect magnifique. Je maintiens stable la température, l’humidité, la distance séparant les plantes des lampes, le pH et l’EC de la solution nutritive. Néanmoins, à partir de la 13e semaine, je rince les racines avec CleanFruits (5 litres d’eau pour 25 ml de CleanFruits par plante). À partir de maintenant, les plantes reçoivent donc 1,5 L d’eau tous les deux jours sans macronutriments. Je n’utilise plus que des boosters comme Growzyme (3 ml/L), Humic Acid Plus (3 ml/L) et Big Fruits (3 ml/L). Les trichomes sont tous transparents ou d’aspect laiteux, à quelques rares exceptions près sur les feuilles résineuses où ils présentent une couleur ambrée. L’une des deux plantes arbore à présent de magnifiques couleurs automnales.

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 13

Les deux dernières semaines (12 et 13) commencent sans incident . Les Monkey Grease présentent maintenant une couleur, un aspect, une densité de fleurs et une couverture de trichomes parfaits. La culture n’a pas posé de problème particulier et je maintiens une alimentation à base d’eau + 9 ml/L de booster de floraison. Les feuilles perdent à présent leur couleur verte vive au profit d’un ton ocre aux reflets violets, signe que les plantes consomment leurs réserves internes de nutriments. Les stigmates changent drastiquement de couleur. Dorénavant, c’est le rouge orangé qui prédomine. Beaucoup d’entre eux se rétractent dans les calices bien gonflés qui forment les énormes fleurs. Une inspection des têtes des trichomes montre que la majorité d’entre eux sont d’un ton laiteux (80% laiteux, 10% clairs et 19% ambrés). L’heure de la récolte a donc sonné. Malgré tout, je laisse les Monkey Grease finir la semaine, ce qui laisse le temps nécessaire à la suppression des dernières traces de sels de la terre. C’est fini ! Et c’est un succès !

Paramètres de culture :

  • Température diurne : 25ºC
  • Taille du pot : 5 L
  • pH : 6,2
  • Total des solides dissous : 60 ppm/0,5 EC
  • Taille des plantes : 51 cm
  • Température de la solution : 21ºC
  • Température du substrat : 19ºC
  • Température nocturne : 20ºC
  • Distance entre la lampe et la plante : 55 cm
  • Volume d’arrosage : 0,75 L/plante/24 heures
  • Durée d’éclairage : 12 heures
  • Humidité de l’air : 50%

Récolte de la Monkey Grease

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 14

Le rendement des deux Monkey Grease est de 996 grammes de fleurs fraiches (201 grammes à sec). Le rendement final par plante est donc de 100,5 grammes. Avec une lampe LED de 320 W, le résultat est donc de 0,63 grammes/watt.

Les fleurs ont un aspect typiquement indica : denses et touffues, de taille moyenne, regroupées en cônes allongés. Les feuilles résineuses, de couleur vert pâle sont parcourues de pistils de couleur orange foncé qui tire parfois sur le violet profond. L’aspect de la Monkey Grease est donc enchanteur.

Mais le plus impressionnant est clairement la dense couverture de trichomes blancs sur les fleurs, ce qui explique les effets hallucinants de cette variété. Cette caractéristique rend également le triturage facile, même sans grinder. Ces fleurs sont de toute beauté, garantie d’une qualité sans pareille.

Journal de culture – Monkey Grease
Semaine 15

Les photos ne trompent pas : la Monkey Grease doit impérativement avoir sa place dans votre chambre de culture. Et vous ? Qu’en pensez-vous ? Ce puissant diesel sur un fond ultra doux vous intéresse ? Et que penser de cette relaxation irréelle ?

Après quelques bouffées seulement, cette Monkey Grease réduira toute douleur et vous plongera dans une profonde relaxation corporelle qui vous conduira bien loin d’ici, dans un endroit où tout est beau et agréable. Dites donc adieu au stress avec cette puissante variété et profitez enfin de la nuit paisible dont vous avez tant besoin. N’attendez pas une seconde de plus et profitez, tout simplement.

Kannabia Seed Company vend à ses clients un produit de collection, un souvenir. Nous ne pouvons pas et ne devons pas donner de conseils de culture car notre produit n’est pas destiné à cet usage.

Nous ne sommes pas responsables de l’utilisation illicite qui pourrait être faite par des tiers des informations publiées ici. La culture du cannabis pour l’autoconsommation est une activité soumise à certaines restrictions légales qui varient d’un État à l’autre. Nous recommandons de revoir la législation en vigueur dans le pays de résidence pour éviter d’encourir l’exercice d’une activité illégale.

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